Écosse vs Irlande: les principales batailles comme poids de l'histoire sur l'Écosse

« Nous pouvons nous battre comme des chats et des chiens, mais au fond, nous ne sommes que deux frères qui ne peuvent pas imaginer la vie sans l'autre. » Une seule déclaration a-t-elle déjà résumé deux nations mieux que l'Écosse et l'Irlande?

Entrelacés par l'histoire, ces frères celtiques ont eu une relation de rugby compliquée. L'Écosse a dominé dans les années 1990, mais l'Irlande a pris le relais à l'époque professionnelle. Depuis 2000, l'Irlande a remporté 26 des 32 affrontements, mais il y a encore une perception en Irlande de l'arrogance écossaise, une notion qui peut être débattue en fonction de l'allégeance. Maintenant, dans ce qui est sans doute la meilleure époque du 21e siècle, l'Écosse croit ouvertement qu'elle peut aller jusqu'au bout.

Malgré dix défaites consécutives contre l'Irlande, dont deux éliminations de la piscine de la Coupe du monde, les Écossais savent que la marée doit finalement tourner. L'Irlande, quant à elle, restera axée sur le laser après une victoire dominante du tour sur l'Angleterre. Leur nouvelle approche sous Andy Farrell a mélangé la structure d'attaque de Leinster avec la défense de blitz de Jacques Nienaber, laissant les adversaires épuisés.

À l'approche du luminaire de la ronde, trois zones clés détermineront le résultat:

Punch ivre

La lutte de l'Écosse contre l'Irlande est largement duvete à la profondeur et au pouvoir. Ils ont souvent bien concouru pendant 60 minutes avant de succomber à la fatigue. L'attaque multiphasée sophistiquée de l'Irlande les a traditionnellement décomposés, mais la stratégie de cette année est différente.

Avec une défense influencée par le blitz de style Springbok de Nienaber, l'Irlande a submergé l'Angleterre, les forçant à des coups de pied inefficaces. Pendant ce temps, une approche de coups de pied plus pragmatique a contribué à conserver l'énergie, leur permettant de se retirer tard dans les matchs. La meilleure chance de l'Écosse est d'obtenir leurs hommes danger – Huw Jones, Duhan van der Merwe, Darcy Graham et Blair Kinghorn – à impatience tôt. La sélection de Tom Jordan à Inside Center aux côtés de Finn Russell suggère une volonté de jouer plus large, en utilisant la capacité de coup de pied et la physicalité de Jordan. La bataille de Gainline sera fascinante, compte tenu des approches contrastées.

Impact

Les deux parties ont empilé leurs bancs avec des joueurs d'impact. La décision de l'Écosse de démarrer Rory Sutherland sur Pierre Schoeman indique un plan pour contrer l'intensité de la fin des matchs d'Irlande. Optant pour une scission de banc 6-2, Gregor Townsend a priorisé les renforts avant, ne laissant que Jamie Dobie et Stafford McDowell pour couvrir le dos.

L'Irlande, en revanche, est allée 5-3, avec Conor Murray, Jack Crowley et Garry Ringrose couvrant la ligne de fond. Leur banc, combinant l'expérience avec un pouvoir explosif, a balancé le jeu en Angleterre au premier tour, avec Dan Sheehan et Jack Conan se révélant décisifs. Si le pack de départ de l'Écosse peut rester dans le combat, leur banc pourrait les garder dedans, mais c'est une grande demande.

Structures de coups de pied

Une bataille cruciale mais sous le radar sera la stratégie de coups de pied de chaque partie. L'Irlande a soutenu Sam Prendergast, 21 ans, avec Crowley offrant une option plus physique sur le banc. Les coups de pied à longue portée de Prendergast sont Elite, mais il était incohérent contre l'Angleterre, en particulier sous pression. Il doit être précis, comme le dos de l'Écosse, les trois, en particulier Kinghorn, excellent sous la balle haute. Son coup de but doit également s'améliorer après un mauvais tour.

Crowley, une fois introduit, offre un meilleur jeu de coups de pied à court de mi-plage et une menace plus directe. Sa présence pourrait déplacer la structure défensive de l'Écosse. Pour l'Écosse, le court jeu de coups de pied de Russell est exceptionnel, et la présence de Jordan suggère une approche collaborative des coups de pied à plus long terme. Si l'Écosse opte pour un long jeu de coups de pied pour cibler la structure défensive d'Irlande, ils doivent être exacts, car la couverture d'Hugo Keenan est de classe mondiale.

Le verdict

Ce sera un cracker absolu entre deux équipes qui ne s'aiment pas. Townsend a minimisé son importance, mais pour l'Écosse, c'est massif. Perdre et le hoodoo prolonge une autre année. Étant donné que le match de l'année prochaine est à Dublin, leur meilleur coup pourrait être dans deux ans.

Émotion à part, l'Irlande est simplement la meilleure équipe. En dehors du demi-vol et de l'hélice Tighthead, ils tiennent le bord dans presque toutes les positions, l'aile droite et le centre extérieur étant les seuls débats réels. L'Écosse est une équipe forte jouant à la maison, mais l'Irlande est en train de revenir vers la forme de pointe. Encore une fois, leur banc sera la différence. Irlande par 8.

Irlande et écossais

Irlande:

15. Hugo Keenan, 14. Mack Hansen, 13. Robbie Henshaw, 12. Bundee Aki, 11. James Lowe, 10. Sam Prendergast, 9. Jamison Gibson-Park; 1. Andrew Porter, 2. Rónan Kelleher, 3. Finlay Bealham, 4. James Ryan, 5. Tadhg Beirne, 6. Peter O'Mahony, 7. Josh van der Flier, 8. Caelan Doris (capitaine).

Remplacements: 16. Dan Sheehan, 17. Cian Healy, 18. Thomas Clarkson, 19. Ryan Baird, 20. Jack Conan, 21 ans. Conor Murray, 22. Jack Crowley, 23. Garry Ringrose.

Écosse:

15. Blair Kinghorn, 14. Darcy Graham, 13. Huw Jones, 12. Tom Jordan, 11. Duhan van der Merwe, 10. Finn Russell, 9. Ben White; 1. Rory Sutherland, 2. Dave Cherry, 3. Zander Fagerson, 4. Jonny Gray, 5. Grant Gilchrist, 6. Matt Fagerson, 7. Rory Darge, 8. Jack Dempsey.

Remplacements: 16. Ewan Ashman, 17. Pierre Schoeman, 18. Will Hurd, 19. Sam Skinner, 20. Gregor Brown, 21 ans. Jamie Ritchie, 22 ans. Jamie Dobie, 23 ans. Stafford McDowall.

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